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A trip to the moon: (Moonwalkers)

Jouissif et complètement délirant. Voilà comment résumer le premier long-métrage d'Antoine Bardou-Jacquet, Moonwalkers.

 

Au casting, on retrouve Ron Weasley, pardon Rupert Grint, qui commence à se détacher de son rôle dans la saga Harry Potter, Ron Perlman (Le Nom de la Rose, Sons of Anarchy) et Robert Sheehan (Misfists). L'histoire, c'est celle de l'une des théories du complot qui a le plus de succès sur internet : les américains auraient fait filmer l'alunissage de la mission Apollo 11 en 1969. Par le réalisateur Stanley Kubrick.

 

Ça paraît trop gros pour y croire ? C'est le principe de la théorie du complot. Ça et un soupçon de doute. « Et si c'était vrai, c'est possible après tout... ». En tête de liste des théories du complot d'après l'Express.be, on retrouve les attentats du 11 septembre 2001, l'assassinat de Kennedy, Roswell sa zone 51, ses aliens et... l'alunissage bidonné par la NASA. Ça faisait donc un bon sujet de film.

 

Résultat : vous reprendrez bien un peu d'acide sur votre trip cinématographique ? Du générique psychédélique aux images d'archives du vrai alunissage qui terminent le film, on se laisse prendre par le rythme effréné, qui alterne quiproquos en cascades et bagarres sur fond de musique classique. Tous les ingrédients sont là : un agent de la CIA au caractère d'armoire à glace (Ron Perlman), un looseur magnifique manager de groupe de rock (Rupert Grint), des malfrats et des hippies.

Un film dont on sort comme d'un trip : le retour à la réalité est difficile et on en redemande encore.

 

En salles le 27 janvier prochain.

 

                                                                                   Marie Jousseaume

Ron Perlman et Rupert Grint, chemises psychédéliques à l'appui. © FIF 85

© 2015 by Laurine Thiodet

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